Un besoin qu’on retrouve dans les différents profils de repreneurs : celui de se reconnecter à un projet professionnel offrant plus de lien humain. Thomas Barusseau n’échappe pas à la règle en reprenant l’histoire d’une personne en quête d’un nouveau livre à écrire. Et cette entreprise, c’est une franchise verdunoise affiliée au réseau Daniel Moquet.

Une reprise ? C’est minimum six mois, mais c’est plus un travail qui va durer un an. Il faut monter des dossiers. Ces dossiers sont assez spécifiques et si on n’a pas l’habitude, le faire tout seul est quasiment mission impossible. Le fait de pouvoir se reposer sur des acteurs comme la CCI permet de surmonter ces difficultés.

La transmission-reprise : une aventure humaine

Ce que je faisais avant : je travaillais dans le milieu de la finance au Luxembourg. J’avais vraiment besoin de trouver des valeurs, des valeurs humaines, que je n’arrivais plus à trouver dans mon ancien emploi. Et donc, je me suis décidé pour une nouvelle aventure dans le milieu du bâtiment. Je suis un indépendant qui est affilié au réseau Daniel Moquet. C’est un réseau national qui existe depuis plus de 20 ans. Nous sommes spécialisés dans la création d’allée pour terrasse chez les particuliers. Ici, on se trouve à Verdun. Donc moi, tout mon secteur couvre le nord meusien. C’est une entreprise qui existe depuis 2014. J’ai racheté l’entreprise en avril 2021 dans le cadre d’une cession. La personne qui avait cette entreprise avant a voulu changer d’activité, découvrir d’autres horizons et avoir d’autres projets.

Un accompagnement rassurant pour les banques

Il faut faire des montages financiers. Et là au niveau des banques, il y a tellement de points sur des bilans, la forme financière de la société, des prévisionnels, etc., que les banques peuvent être parfois un peu frileuses. Et c’est là où, quand on va être bien accompagné, le dossier va être en béton. Donc là, c’est ce que la Chambre de Commerce et d’Industrie peut apporter. Est-ce que la société qu’on reprend est bonne ? Est-ce que les chiffres qu’on montre sont les bons ? Et puis, ensuite : le fléchage. Comment ça se passe ? Et c’est un parcours du combattant. Essayer de faire ça tout seul, c’est un peu compliqué. Donc, il faut vraiment trouver les bons interlocuteurs au bon moment qui puissent nous accompagner pour pouvoir faire les étapes les unes après les autres et dans le bon ordre.

La CCI vous aide tout au long de votre projet

Ils ont quand même une connaissance du tissu local qui est très importante. Il faut vraiment s’appuyer sur ça. Le but de passer avec la CCI, justement, c’est d’avoir cet accompagnement initial et ensuite, un accompagnement tout au long de cette démarche. Si j’avais dû le faire tout seul, ça aurait été compliqué. J’aurais peut-être même abandonné. Alors qu’aujourd’hui, c’est une réussite. Je suis très content, tout se passe bien. Un grand merci à la CCI pour l’accompagnement dont j’ai pu bénéficier.

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